Lectures estivales
03/07/2017Cette sélection d'ouvrages a été réalisée par les membres du Crash. Bon été et bonne lecture !
Cette sélection d'ouvrages a été réalisée par les membres du Crash. Bon été et bonne lecture !
Angélique Muller et Michaël Neuman opèrent un retour d'expérience sur l'action menée par Médecins Sans Frontières dans le cadre d'un projet d'assistance aux migrants dans la ville de Grande-Synthe.
Cet article a été publié dans la revue Alternatives Humanitaires. Angélique Muller et Michaël Neuman opèrent un retour d'expérience sur l'action menée par Médecins Sans Frontières dans le cadre d'un projet d'assistance aux migrants dans la ville de Grande-Synthe.
Trois mois après l'accord UE-Turquie sur les migrants, MSF a décidé, le 17 juin dernier, de renoncer aux fonds de l'UE afin de protester contre sa politique migratoire. Cette décision a entraîné des débats internes au sein de MSF.
Trois mois après l'accord UE-Turquie sur les migrants, l'ONG Médecins sans frontières a décidé, le 17 juin, de renoncer à tout financement de l'Union européenne et de ses États membres pour dénoncer leur politique migratoire « honteuse ».
Débat sur Public Sénat avec Fabienne Lassalle, directrice générale adjointe de SOS Méditerranée, Michaël Neuman, chercheur au Centre de réflexion sur l'action et les savoirs humanitaires et François Gemenne, chercheur et enseignant en sciences politiques à l'Université de Versailles et de Liège, spécialiste des flux migratoires.
Le 17 juin 2016, MSF a annoncé qu'elle refuserait, dorénavant, les financements de l'Union européenne et de ses Etats membres « dont les politiques [migratoires] font du mal aux personnes ».
La journée mondiale des réfugiés aura été l'occasion d'un rappel quasi-unanime du cynisme des politiques européennes en matière d'immigration et d'asile : la dissuasion au prix du sacrifice de milliers de personnes comme seule politique d'accueil de gens qui fuient la guerre, les persécutions ou des conditions de vie qu'ils jugent intenables.
Interview de Michaël Neuman, directeur d'études au Centre de Réflexion sur l'Action et les Savoirs Humanitaires, sur Rfi suite à la mort de plus d'une centaine de migrants en Méditerranée.
Voilà deux mois que MSF intervient dans la «jungle» de Calais, à Grande-Synthe, à Norrent-Fontes. L'idée selon laquelle les problèmes médicaux y étaient peu importants, que l'État y assurait une prise en charge minimale, et qu'il n'était pas de notre ressort de nous mêler de politiques migratoires, a longtemps eu raison de l'attention que nous aurions pu porter à ces camps.
Ce texte est une version augmentée du papier paru dans L’Etat du monde 2015, Nouvelles guerres (sous la direction de B. Badie et D. Vidal, Editions La Découverte) sous le titre «Quelle place pour les organisations humanitaires en situation de conflit?».
La thèse du renouveau de la souveraineté des Etats connaît une mode incontestable au sein de discours généraux prompts à valider l'hypothèse d'une rétractation de l'espace de travail offert aux organisations humanitaires.