Quand la finance contamine l'Organisation mondiale de la santé
04/04/2017Rony Brauman commente pour Télérama le documentaire "L'OMS, dans les griffes de lobbyistes?"
Rony Brauman commente pour Télérama le documentaire "L'OMS, dans les griffes de lobbyistes?"
Trois mois après l'accord UE-Turquie sur les migrants, MSF a décidé, le 17 juin dernier, de renoncer aux fonds de l'UE afin de protester contre sa politique migratoire. Cette décision a entraîné des débats internes au sein de MSF.
Trois mois après l'accord UE-Turquie sur les migrants, l'ONG Médecins sans frontières a décidé, le 17 juin, de renoncer à tout financement de l'Union européenne et de ses États membres pour dénoncer leur politique migratoire « honteuse ».
Le 17 juin 2016, MSF a annoncé qu'elle refuserait, dorénavant, les financements de l'Union européenne et de ses Etats membres « dont les politiques [migratoires] font du mal aux personnes ».
Ce texte est une version augmentée du papier paru dans L’Etat du monde 2015, Nouvelles guerres (sous la direction de B. Badie et D. Vidal, Editions La Découverte) sous le titre «Quelle place pour les organisations humanitaires en situation de conflit?».
Entretien avec Rony Brauman, ancien président de Médecins Sans Frontières et directeur d'études au Crash, sur la réponse à l'épidémie d'Ebola.
Les bailleurs de fonds doivent se rencontrer le 30 janvier à Koweït City pour réunir 1,5 milliard de dollars au titre de l'aide humanitaire pour les victimes du conflit syrien. Jusqu'à présent, l'essentiel de l'aide internationale est distribuée depuis Damas par le Comité international de la Croix-Rouge, les agences des Nations unies et huit ONG internationales.
Les populations du Sahel sont-elles condamnées à subir chaque année le fléau de la malnutrition ?
Comparés aux survivants du Tsunami ou du tremblement de terre à Haïti, les rescapés des moussons torrentielles qui se sont abattues sur le Pakistan font moins recette.
Dans cette chronique d'Alternatives Internationales, Rony Brauman souligne que le séisme de Port-au-Prince de janvier 2010 est d'une ampleur sans précédent et qu'en dépit de la confusion initiale des secours, ceux-ci ont été bien orientés. Il estime que, quelle que soit la défaillance de l'Etat haïtien, c'est d'Haïti que devra être conduite la reconstruction.
Fabrice Weissman déconstruit les principaux mythes propagés lors du tsunami en Asie du sud-est et attire notre attention sur les responsabilités réelles qui incombent aux organismes de secours.
Rony Brauman et Guillaume Kopp, chef de mission au Sri Lanka en 2005 pour Action contre la faim, témoignent et répondent au « club politique autrement » sur la place des associations d'aide ou des institutions intergouvernementales lors du tsunami de 2004.