
Crise alimentaire : « Les chiffres des Nations unies sont discutables », estime Rony Brauman
15/12/2017Interviewé par Le Monde Afrique, Rony Brauman préconise de tenir compte des disparités sur le terrain pour mieux aider les populations.
Interviewé par Le Monde Afrique, Rony Brauman préconise de tenir compte des disparités sur le terrain pour mieux aider les populations.
Fabrice Weissman, directeur d'études à MSF-Crash, présente le livre "Secourir sans périr. La sécurité humanitaire à l'ère de la gestion des risques", co-dirigé avec Michaël Neuman (CNRS, 2016).
Depuis quelques années, des rapports alarmistes, basés sur des données chiffrées, décrivent un monde de plus en plus dangereux pour les humanitaires. Le livre « Secourir sans périr » analyse ce constat, et le confronte à l'expérience de MSF dans des zones particulièrement dangereuses.
Fabrice Weissman, directeur d'études au Crash, co-auteur de "Secourir sans périr" (CNRS Editions, 2016), répond aux questions de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS).
Quand Chantal Kaghoma, une infirmière employée par MSF, otage du groupe rebelle Forces démocratiques alliées (ADF) en République démocratique du Congo, recouvre la liberté après plus de treize mois de captivité en août 2014, elle témoigne.
L'étude de cas ‘Traque et massacres des réfugiés rwandais au Zaire-Congo 1996-1997' examine les contraintes et les dilemmes rencontrés par les équipes de Médecins Sans Frontières en 1996 et 1997 alors qu'elles s'efforçaient de porter secours aux réfugiés rwandais dans l'Est du Zaire.
A l'occasion du 150ème anniversaire du CICR et de la récente publication du numéro de la Revue sur "L'avenir de l'action humanitaire", le Harvard Program on Humanitarian Policy and Conflict Research et la Revue internationale de la Croix-Rouge ont co-animé un séminaire Web sur le thème "Perspectives pour l'avenir de l'action humanitaire".
Depuis quelques semaines, de grandes organisations humanitaires, et notamment le CICR, sont critiquées parce qu'elles se refusent à acheminer de l'aide d'urgence en Syrie autrement que par et avec l'autorisation de Damas. Le directeur des opérations du CICR a justifié cette position dans une récente tribune.
Les bailleurs de fonds doivent se rencontrer le 30 janvier à Koweït City pour réunir 1,5 milliard de dollars au titre de l'aide humanitaire pour les victimes du conflit syrien. Jusqu'à présent, l'essentiel de l'aide internationale est distribuée depuis Damas par le Comité international de la Croix-Rouge, les agences des Nations unies et huit ONG internationales.
Le chirurgien Jacques Bérès est le seul médecin étranger à s'être rendu dans les quartiers assiégés de Homs depuis l'intensification des combats le 6 février.
Depuis les années 1990, de nombreuses organisations humanitaires internationales déplorent une tendance croissante des pouvoirs politiques à entraver ou à instrumentaliser leur action.
Le 26 janvier, Brookings-LES Project on Internal Displacement et MSF ont organisé un débat sur les négociations engagés par les acteurs humanitaires dans des situations de crises.