De l’injustice des boycotts
01/06/2008Dans le contexte d'appel au boycott des jeux Olympiques de 2008, Rony Brauman analyse les impasses de ce type d'action.
Dans le contexte d'appel au boycott des jeux Olympiques de 2008, Rony Brauman analyse les impasses de ce type d'action.
S’engager dans une étude sur ce thème, c’est investir un terrain chargé de représentations contradictoires qui touchent à la question sensible des limites de notre responsabilité, source de désaccords et de débats sans fin sur ce que serait notre « identité » et sur l’existence ou pas d’un rôle pour MSF « au-delà du soin ».
Rony Brauman revient sur l'ouvrage de Pierre Hazan : « Juger la guerre, juger l'histoire », et sur la fixation des normes juridico-morales qui régissent la vie internationale.
Situant la question dans le contexte des rapports de puissances entre Etats, Rony Brauman analyse la "diplomatie des droits de l'homme".
Au fil de son histoire, MSF a mis en lumière et dénoncé des détournements de l’action humanitaire et des violences graves commises contre des populations civiles bénéficiant de ses actions de secours.
Rony Brauman confronte deux visions du drame Rwandais à travers les ouvrages respectifs de leurs auteurs, Pierre Péan et Abdul Ruzibiza.
Les articles de ce dictionnaire proposent une définition précise de chaque terme, des droits qui y sont attachés, un exposé des problèmes concrets rencontrés dans chaque type de situation, les schémas de violation les plus fréquents et des conseils pratiques pour garantir le respect du droit.
Abdul Ruzibiza s'est enrôlé à vingt ans dans le FPR en 1990. Il témoigne des exactions commises tant par le régime Habyarimana que par le FPR.
Pour Rony Brauman, seule l'histoire nous permet de saisir la complexité d'un passé qui resurgit constamment dans le présent. Une critique de la notion de "devoir de mémoire".
Rony Brauman met en avant les avantages des menaces de sanctions juridiques pour prévenir les crimes contre l'humanité.
Rony Brauman intervient sur le concept d' «occupation militaire ».
Rony Brauman détaille les impasses de la qualification de génocide appliquée au conflit du Darfour et met en garde contre l'abus de ce concept.