Le génocide au Rwanda raconté par un humanitaire français
Cet entretien de Jean-Hervé Bradol a été réalisé par Hélène Sallon et publié dans le Journal Le Monde le 7 avril 2014.
Cet entretien de Jean-Hervé Bradol a été réalisé par Hélène Sallon et publié dans le Journal Le Monde le 7 avril 2014.
Cet entretien a été réalisé par Hélène Sallon et publié dans le Journal Le Monde le 7 avril 2014.
Depuis les années 1990, de nombreuses organisations humanitaires internationales déplorent une tendance croissante des pouvoirs politiques à entraver ou à instrumentaliser leur action.
Le 26 janvier, Brookings-LES Project on Internal Displacement et MSF ont organisé un débat sur les négociations engagés par les acteurs humanitaires dans des situations de crises.
Assurer une aide humanitaire aux victimes de conflits peut-il impliquer de faire appel à une intervention militaire ? Oui, selon certaines ONG. Non, affirme Médecins sans frontières, qui défend la démilitarisation des espaces de soin.
A l'occasion de son 40ème anniversaire, MSF dévoile dans l'ouvrage « Agir à tout prix ? » son expérience des négociations humanitaires.
Des ONG internationales aux agences de l'ONU en passant par les bailleurs de fonds, le constat est unanime : « l'espace humanitaire se rétrécit ».
Le 3 mars dernier, le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, a fait des appels du pied à la communauté humanitaire. Reconnaissant les limites de la force militaire lors des phases de stabilisation et de reconstruction, il souhaite renforcer en Afghanistan un partenariat avec les ONG.
Du Tchad au Darfour en passant par la République Démocratique du Congo, de nombreuses organisations humanitaires militent pour l'envoi de troupes internationales afin de «protéger les populations civiles».