Les membres du CRASH interviennent régulièrement dans les médias sur des sujets liés aux interventions de Médecins Sans Frontières ou à l'actualité internationale et humanitaire, retrouvez toutes les publications sur cette page.
Les bailleurs de fonds doivent se rencontrer le 30 janvier à Koweït City pour réunir 1,5 milliard de dollars au titre de l'aide humanitaire pour les victimes du conflit syrien. Jusqu'à présent, l'essentiel de l'aide internationale est distribuée depuis Damas par le Comité international de la Croix-Rouge, les agences des Nations unies et huit ONG internationales.
De retour de mission en Syrie, Fabrice Weissman a été frappé par l'importance des besoins et la faiblesse de la réponse internationale. Il répond aux questions d'Europe 1 et lemonde.fr.
Alors que la Cour pénale internationale vient de rendre son premier jugement, Fabrice Weissman débat sur RFI avec William Bourdon, ancien Secrétaire général de la FIDH et président de l'association Sherpa, de la question suivante : la justice internationale est-elle la justice du plus fort ?
L'intervention de l'OTAN en Libye a relancé le débat au sujet des guerres qui se veulent justes et des interventions militaires internationales dites humanitaires. Deux arguments paraissent particulièrement solides pour refuser d'endosser les tentatives de messianisme politique conduites les armes à la main.
Cette tribune a été publiée dans le journal Marianne, le 28 janvier 2012. Les découvertes du juge Trevisic ont relancé la polémique sur le Rwanda, une partie de la presse exonérant Kagame de ses responsabilités passées et présentes. Rony Brauman, Jean-Hervé Bradol et Claudine Vidal tentent de mettre en lumière les véritables enjeux du génocide rwandais.
L'épidémie de choléra qui sévit depuis près d'un mois à Haïti met en évidence la faiblesse du dispositif international de réponse à des épisodes aigus de ce type. Les violences dirigées contre les soldats de la Minustah, accusés par la rumeur publique d'être les vecteurs de cette maladie infectieuse, nous rappellent que les épidémies attisent les peurs.
Aucun pays ne serait en mesure de faire face à un désastre tel que le séisme qui a dévasté Port-au-Prince et sa région. Nous n'avons pas à ce jour l'ensemble des informations ni le recul pour en évaluer l'impact mais nous savons déjà qu'il se classe parmi les grandes catastrophes de ces cent dernières années.
Doit-on s’étonner de la crise alimentaire qui affecte aujourd'hui le Niger ? La question semble aujourd'hui secondaire devant l'urgence de la situation. Et puis pourquoi s'étonner alors que le Sahel soit victime de famines depuis des siècles ?