Les membres du CRASH interviennent régulièrement dans les médias sur des sujets liés aux interventions de Médecins Sans Frontières ou à l'actualité internationale et humanitaire, retrouvez toutes les publications sur cette page.
Depuis quelques semaines, de grandes organisations humanitaires, et notamment le CICR, sont critiquées parce qu'elles se refusent à acheminer de l'aide d'urgence en Syrie autrement que par et avec l'autorisation de Damas. Le directeur des opérations du CICR a justifié cette position dans une récente tribune.
Les récents assassinats des vaccinateurs au Nigeria et au Pakistan ne doivent pas éclipser les critiques rationnelles des campagnes de vaccination contre la poliomyélite avancées par les populations concernées.
Les bailleurs de fonds doivent se rencontrer le 30 janvier à Koweït City pour réunir 1,5 milliard de dollars au titre de l'aide humanitaire pour les victimes du conflit syrien. Jusqu'à présent, l'essentiel de l'aide internationale est distribuée depuis Damas par le Comité international de la Croix-Rouge, les agences des Nations unies et huit ONG internationales.
De retour de mission en Syrie, Fabrice Weissman a été frappé par l'importance des besoins et la faiblesse de la réponse internationale. Il répond aux questions d'Europe 1 et lemonde.fr.
Alors que la Cour pénale internationale vient de rendre son premier jugement, Fabrice Weissman débat sur RFI avec William Bourdon, ancien Secrétaire général de la FIDH et président de l'association Sherpa, de la question suivante : la justice internationale est-elle la justice du plus fort ?
L'intervention de l'OTAN en Libye a relancé le débat au sujet des guerres qui se veulent justes et des interventions militaires internationales dites humanitaires. Deux arguments paraissent particulièrement solides pour refuser d'endosser les tentatives de messianisme politique conduites les armes à la main.
Cette tribune a été publiée dans le journal Marianne, le 28 janvier 2012. Les découvertes du juge Trevisic ont relancé la polémique sur le Rwanda, une partie de la presse exonérant Kagame de ses responsabilités passées et présentes. Rony Brauman, Jean-Hervé Bradol et Claudine Vidal tentent de mettre en lumière les véritables enjeux du génocide rwandais.
L'épidémie de choléra qui sévit depuis près d'un mois à Haïti met en évidence la faiblesse du dispositif international de réponse à des épisodes aigus de ce type. Les violences dirigées contre les soldats de la Minustah, accusés par la rumeur publique d'être les vecteurs de cette maladie infectieuse, nous rappellent que les épidémies attisent les peurs.