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Rony Brauman donne son point de vue sur la façon dont il conviendrait d'aider la Somalie.

Bien, dira-t-on, les systèmes changent, le monde bouge, mais la guerre et le mensonge demeurent. Rien de bien nouveau dans tout cela, sauf pour les naïfs qui imaginaient qu'avec la fin de la guerre froide, c'est la guerre tout court qui allait être reléguée au musée d'une Histoire accomplie.

S'appuyant sur les exemples de la Bosnie ou du Liban, Rony Brauman expose une critique de la politique humanitaire.

Une dénonciation du traitement par l'Europe de la guerre en Bosnie.

Rony Brauman développe une critique des postures compassionnelles et d'un certain humanitaire spectacle.

Sous le nom d'ingérence, l'humanitaire devient une technique de communication politique.

Rony Brauman dénonce la mollesse des réactions européennes en Bosnie.

A travers le parallèle avec Norman Béthune, médecin canadien maoïste des années 30, Rony Brauman analyse les ressorts de l'action humanitaire.

Rony Brauman décrit certains obstacles politiques à l'action humanitaire et affirme l'importance d'une réponse humanitaire cohérente.

Rony Brauman explore les liens entre la politique et la morale.

Rony Brauman souligne les transformation de la conditions des réfugiés en Europe à la fin de la guerre froide.

Rony Brauman souligne la distinction entre famine et malnutrition. Il propose la constitution de périmètres protégés dans les régions en guerre frappées par la famine.