L’aide ne crée pas le réfugié
01/09/2007Rony Brauman conteste l'idée selon laquelle l'aide serait un facteur déterminant des mouvements de populations.
lire sur alternatives-internationales.fr
Rony Brauman conteste l'idée selon laquelle l'aide serait un facteur déterminant des mouvements de populations.
lire sur alternatives-internationales.fr
Se plaçant du point de vue d'une organisation humanitaire médicale, Fabrice Weissman revient sur les grandes étapes du conflit au Darfour depuis 2003. Il remet en question la lecture dominante de cette crise et met en garde contre les illusions d'une intervention armée internationale dans cette région.
La standardisation des secours humanitaires est à la fois justifiée et critiquée. Comment lier réactivité et standardisation ? Marc Le Pape étudie l'exemple des opérations conduites par MSF au Congo-Brazzaville à partir de 1999 : l'assistance aux femmes victimes de viols et les secours nutritionnels.
Rony Brauman définit la médecine humanitaire et met en avant les problèmes d'ordre politique, médical et logistique relatifs à sa pratique en situation de conflits.
Populations réfugiées et populations déplacées font l'objet d'une présentation et d'un rapide rappel historique dans cette note de lecture de Rony Brauman du livre « Au bord du monde, les réfugiés » de Michel Agier.
Face aux violences de guerre, comment agit, aujourd'hui, une organisation de secours médical ? Ce livre restitue une expérience, décrit et analyse les caractéristiques d'une intervention, celle conduite par Médecins Sans Frontières au Congo Brazzaville en 1998-2000.
Bien que responsable de crimes de masse, le FPR de Paul Kagamé est indemne de toute critique politique. Les auteurs mettent en question les ONG et organisations internationales qui s'associent, au prétexte du devoir de mémoire, à un ressassement du passé faisant écran aux violences actuelles.
Partant de l'expérience de MSF, Rony Brauman tente d'analyser les pratiques et les discours des ONG placées devant des exigences contradictoires.
"Plus jamais ça" : au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'horreur causée par l'Holocauste a conduit la communauté des Etats à condamner le crime de génocide et à fonder une nouvelle organisation internationale, les Nations unies. Pourtant, un demi-siècle plus tard, la communauté internationale n'a rien fait pour empêcher le premier génocide incontestable depuis celui des Juifs : elle a laissé massacrer les Tutsis du Rwanda et s'est contentée d'envoyer une aide humanitaire alors que tout, ou presque, était consommé.
Catastrophes naturelles ou d'origine humaine : Rony Brauman expose les principes généraux de l'intervention humanitaire.
Une réflexion sur la première "guerre humanitaire".
Témoins privilégiés des crises majeures qui ont secoué la planète au cours des dernières années, les volontaires de Médecins Sans Frontières en sont également des acteurs, engagés dans le seul parti qui résiste à l'usure des idéologies : celui de la solidarité.