Kivu

Cet article a été publié le 22 décembre 2021 dans le Journal of Humanitarian Affairs (numéro 3, volume 3).
Dans cet article, Natalie Roberts analyse les actions et le positionnement de MSF lors de l'épidémie d'Ebola au Nord Kivu (République démocratique du Congo, 2018-2020).

Voici une recension du livre de Justine Brabant "Qu'on nous laisse combattre et la guerre finira. Avec les combattants du Kivu" (Editions La Découverte, 2016), rédigée par Marc Le Pape et publiée dans le numéro 228 de la revue Tiers Monde. Nous avions reçu Justine Brabant en juin 2016 à l'occasion d'une conférence du Crash dédiée à son livre. 

Justine Brabant est chercheuse et journaliste. Depuis plusieurs années, elle parcourt les territoires de la République Démocratique du Congo, principalement à l'Est du pays, pour un travail de recherche sur les combattants des guerres des Kivus. Elle est venue parler de son livre, récemment paru aux Editions de la Découverte, Qu'on nous laisse combattre et la guerre finira. Avec les combattants du Kivu lors d'une conférence du CRASH, organisée le 27 juin 2016.

Bosco Ntaganda n'est pas un inconnu. Il ne l'est pas pour la Cour pénale internationale qui a délivré deux mandats d'arrêt contre lui: d'abord en 2006, puis une seconde fois le 13 juillet 2012.

Marc Le Pape étudie la complexité des actions médicales humanitaires en zones de conflit à partir des exemples d'opérations conduites par MSF en RDC (Nord-Kivu, Ituri) et en Côte d'Ivoire (Bouaké).

Selon Rony Brauman, décider d'agir suppose que l'action soit préférable à l'abstention, ce qui ne peut être considéré comme allant de soi.