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acteurs et pratiques humanitaires

Rony Brauman appelle à une réflexion au sein de l'ONU afin que soit re-spécifiés les objectifs des ses opérations de maintien de la paix.

Rony Brauman explore les liens entre mouvements alter-mondialistes et ONG humanitaires.

Rony Brauman présente le livre du sociologue israélien Baruch Kimmerling : « Politicide, les guerres d'Ariel Sharon contre les palestiniens ».

Si l'aide alimentaire semble s'imposer comme une réponse évidente à la crise alimentaire nord-coréenne, Fabrice Weissman nous montre comment  l'assistance « humanitaire » vient renforcer l'un des régimes les plus oppressifs de la planète et nous expose les enjeux politiques qui sous-tendent ces décisions.

L’Ethiopie serait-elle la proie d’une fatalité climatique l’exposant régulièrement à la famine ? Les autorités n’ont-elles pas une part de responsabilité dans la genèse de ces crises et dans l’incapacité à secourir certaines victimes en dépit de l’importance de l’assistance mobilisée ?

Si depuis les attentats du 11 septembre 2001, l'islam et ses différentes manifestations sont l'objet d'une curiosité nouvelle, Rony Brauman constate que les ONG islamiques et leurs actions concrètes restent largement ignorées.

Rony Brauman souligne le rôle des ONG israéliennes et palestiniennes dans le rapprochement des sociétés concernées.

Rony Brauman rappelle que les organisations humanitaires ne peuvent se contenter d'évaluer leurs actions à l'aune des moyens qu'elles mettent en oeuvre, mais qu'il est de leur responsabilité de réfléchir aux conséquences effectives de leurs actions.

L'humanitaire moderne s'est construit en s'affranchissant de la tutelle du politique. L'asservir aux logiques d'Etat est une régression, estime Rony Brauman, s'appuyant sur l'exemple de la confusion militaro-humanitaire en Afghanistan.