
Devoir d’histoire
01/06/2005Pour Rony Brauman, seule l'histoire nous permet de saisir la complexité d'un passé qui resurgit constamment dans le présent. Une critique de la notion de "devoir de mémoire".
Pour Rony Brauman, seule l'histoire nous permet de saisir la complexité d'un passé qui resurgit constamment dans le présent. Une critique de la notion de "devoir de mémoire".
En 2006, des délégations du mouvement international de Médecins Sans Frontières se réunissaient au Luxembourg pour débattre de leurs visions de l'action de l'association. Ce texte de Rony Brauman sur les limites de l'action humanitaire s'inscrit dans ce cadre.
Rony Brauman met en avant les avantages des menaces de sanctions juridiques pour prévenir les crimes contre l'humanité.
Rony Brauman et Guillaume Kopp, chef de mission au Sri Lanka en 2005 pour Action contre la faim, témoignent et répondent au « club politique autrement » sur la place des associations d'aide ou des institutions intergouvernementales lors du tsunami de 2004.
Alors que le champ de l'action des ONG n'a cessé de s'élargir, Rony Brauman s'interroge sur l'influence du concept de « mission civilisatrice » qui a marqué nos consciences ainsi que sur le poids des « valeurs » au sein de leurs politiques.
Rony Brauman intervient sur le concept d' «occupation militaire ».
Dans ce rapport, Vladimir Najman, décrit les mécanismes de survie mis en œuvre par la population du district de Batticaloa, au Sri Lanka, au lendemain du tsunami du 26 décembre 2004. Basé sur une enquête de terrain réalisée trois mois après la catastrophe, ce travail souligne le rôle déterminant des secours dans la phase de première urgence.
Revenant sur le tsunami de décembre 2004, Rony Brauman insiste sur la nécessité de prendre du recul pour penser les priorités et rapproche ce désastre d'autres qui se sont déroulés en même temps sur la planète.
Un rapide retour sur les questions soulevées par la réponse à la catastrophe du tsunami.
Si les ONG se reconnaissent dans l'idéal de l'ONU, un nombre croissant d'entre elles finissent par s'apercevoir qu'elles ne peuvent traduire cette communauté de vues en coopération concrète sous peine de perdre leur capacité d'action.
Rony Brauman et Hugo Slim, responsable de la recherche au Centre du dialogue humanitaire à Genève, défendent des positions radicalement différentes sur le rôle de l'humanitaire dans un moment de crise.
A quels besoins l'aide humanitaire internationale répond-elle ? Quels sont les problèmes auxquels les ONG et les agences de l'ONU tentent d'apporter des solutions ?