Dans un pays doté d’infrastructures médicales solides et face à une mobilisation internationale de grande ampleur, quelle place pour MSF en Ukraine ? « Nous ne sommes pas en première ligne à prodiguer des soins d’urgence », écrivent Thierry Allafort Duverger et Michael Neuman, mais nous pouvons et devons être actifs dans des secteurs limités, notamment auprès des « laissés pour compte », et voir à plus long terme.
Des organisations humanitaires de secours en mer se retrouvent qualifiées de complice des trafiquants. Une accusation aussi absurde qu’inacceptable. Non seulement les opérations de secours en mer sauvent des personnes de la noyade, mais elles œuvrent à leur évacuation en situation de danger immédiat en Libye, rappelle MSF.