L’autre visage de Bob Geldof
01/07/2005Un point de vue critique de Rony Brauman sur les initiatives humanitaires de Bob Geldof.
Un point de vue critique de Rony Brauman sur les initiatives humanitaires de Bob Geldof.
Rony Brauman et Guillaume Kopp, chef de mission au Sri Lanka en 2005 pour Action contre la faim, témoignent et répondent au « club politique autrement » sur la place des associations d'aide ou des institutions intergouvernementales lors du tsunami de 2004.
Un rapide retour sur les questions soulevées par la réponse à la catastrophe du tsunami.
Revenant sur le tsunami de décembre 2004, Rony Brauman insiste sur la nécessité de prendre du recul pour penser les priorités et rapproche ce désastre d'autres qui se sont déroulés en même temps sur la planète.
Rony Brauman revient sur l'ouvrage de Denis Sieffert : « Israël Palestine, Une passion française », et sur les raisons qui sous-tendent l'intérêt français pour le conflit israélo-palestinien.
Rony Brauman analyse les rapports entre ONG, médias et pouvoirs politiques. Il évoque la production par les ONG de nouvelles régulations dans l'espace politique mondial et le rôle primordial qu'elles jouent désormais dans le débat public.
Rony Brauman constate que le label « humanitaire » est souvent utilisé de façon abusive par les acteurs des conflits, dans le cadre d'opérations de propagande. Il recommande de veiller à l'usage des mots, afin de ne pas se faire le relais de telles manœuvres.
Rony Brauman retrace dans cette chronique l'historique et le jeu politique complexe du conflit Biafrais de 1967 à 1969.
Étudiant ce qu'il appelle le trio secouriste, victime et journaliste, Rony Brauman conduit une réflexion sur les enjeux de la médiatisation de l'action humanitaire.
Irak, Somalie, Bosnie, Cambodge, El Salvador... jamais la communauté internationale, sous l'égide des Nations unies, n'a été autant sollicitée pour intervenir sur les principaux terrains de crises. 75 000 casques bleus sont aujourdh'ui engagés dans des opérations de maintien de la paix.
Bien, dira-t-on, les systèmes changent, le monde bouge, mais la guerre et le mensonge demeurent. Rien de bien nouveau dans tout cela, sauf pour les naïfs qui imaginaient qu'avec la fin de la guerre froide, c'est la guerre tout court qui allait être reléguée au musée d'une Histoire accomplie.
Rony Brauman développe une critique des postures compassionnelles et d'un certain humanitaire spectacle.